I love Nicolas Demorand
Je ne possède pas la télé. « Quoi ? Comment ? Hérétique ! ». Oui vous lisez bien. Je ne possède pas la télé. J’ai un écran mais il ne me sert qu’à jouer à la Wii. Alors je lis les magasines peoples. Je lis Perez Hilton. Je surfe sur le net. Je vais faire un tour sur YouTube. Je télécharge à fond. Je décide de choisir ce que je regarde plutôt que de me retrouver comme une conne devant cet écran morbide qui ne propose que de la merde aux horaires appropriés. De plus je me connais trop parfaitement : je serai du genre à rester debout jusqu’à un horaire inadmissible pour mater une émission intéressante.
Par contre, j’écoute la radio. France Inter pour être exacte. Haaaaaa ça … Faut me voir m’énerver quand mon radio-réveil fait des grésillements et que je n’entends plus l’homme de mes rêves me susurrer de sa voix la plus suave au réveil « France Inter – bip bip bip- ( tu… duddu du duuuuuuum ) il est 7 h00 ! » Je suis amoureuse d’une grosse voix ultimement égocentrée. Le week-end je suis malheureuse – heureusement qu’il reste quand même « Panique au Mangin Palace », « Le Masque et la Plume » « Eclectik » « Rue des Entrepreneurs »…
Bon okay j’exagère il y a beaucoup d’émissions que j’apprécie sur France Inter. Mais cet article est d’une mauvais foi suprême uniquement parce que je veux faire l’apologie de Nicolas Demorand.
Oui vous lisez bien je suis amoureuse de Nicolas Demorand. Tant et si bien que si je ne dors pas chez moi en semaine, le matin, vous me voyez au radar choper mon mp3 qui fait – ô joie –radio et je mets mon casque sous la couette. Pour me rendormir. Avec Nicolas. Les gens me prennent pour une psychopathe quand je rigole ou que j’applaudis toute seule à moitié endormie quand c’est l’interview de l’invité de la matinale.
Ainsi vont les choses … Je suis Demorandmaniaque.
Pix : Nicolas Demorand