Autosuffisance !

Publié le par Divine

Ingrid Bétancourt a été libérée.

Chouette. Je ne la connais pas. Et au risque de lever un tollé, je suis quand même assez intellectuellement évoluée pour me méfier des engouements médiatiques sur des gens. Je vais faire ma parano, pensant même qu'on va en bouffer pendant des semaines de cette histoire. Rien que ce matin apprenant cette libération via mon réveil, je scotche sur France Inter, et ris sous cape en entendant les trémolos dans la voix de Sarko. A croire qu'il a dû vraiment passer des instants mémorables avec cette Ingrid. Donc, je ne vais pas prendre position en quoi que ce soit, je ne connais pas assez bien la situation Colombienne et ne sais rien des FARC ni de Utribe, de Chavez et tout le reste. J'attends de plus en savoir après recherches avant de dire quelque chose de conséquent.


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Discussion culte hier soir.

J'ai décidé de me remettre à bosser sur mon bouquin et j'ai voulu user de mon côté pervers provocant pour avoir du répondant en face de moi.
Ca m'évite de faire l'avocate du diable toute seule dans mes prises de note brouillon et c'est tellement drôle de provoquer au max.

Les sujets de cette charmante discussion furent deux trois légères petites piques, l'une sur la pudeur des gens qui m'énerve au possible, ce qui soi-disant permet de trouver une fleur derrière des herbes sauvages (sur quoi je rétorque qu'on risque aussi de tomber sur de la merde canine en état de décomposition avancée qui ne peut se détecter à l'odeur ) et l'autre sur le non renouvellement des amants que l'on trouve sur le chemin de son existence.


Et donc dans cette grande discussion sur l'ennui dans un couple vu qu'on a rapidement fait le tour de l'autre, j'ai entendu ma soif de liberté; les gens m'emmerdent rapidement. Ils sont sans surprise.


En réfléchissant bien, dans mon entourage il ya différents individus qui ne seront jamais amenés à se rencontrer.

Ca peut aller des clodos du Canal st Martin ( je sais ça me porte même préjudices et suis parfois bien obligée d'expliquer en quoi je me permets parfois de partager une clope ou une bière avec quelques uns d'entre eux ) jusqu'au «  fils de » habitant dans des grands appart' du XVè.
Je virevolte gaiement entre ces différents milieux et conditions sociales parce qu'il ya toujours du bon à en tirer.

Faut juste piger quoi.

Petit papillon ou mouche à merde.

Vous pouvez choisir ce que je suis.



C'est bien au fond de s'auto-suffire. Je peux enfin l'affirmer.
Je ne suis pas scotchée à mon portable, je n'attends plus la réponse de l'autre avant de décider de faire quelque chose et au moins, y a aucune déception.


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