La fin d'une histoire en devenir...( sur la musique de Preisner ]

Publié le par Divine

Je marchais, je passais là où je l'ai rencontrée.
La Catharsis impensable, MA Catharsis improbable,mon amour, mon tout mon autre moi même....
Ce ne fut rien...
Destructeur ou au contraire.
Réussir à me relever des mes cendres, écrire, écrire,  tout ce qu'il a pu se passer durant ces quelques semaines ?
Des sentiments éternels, inscrits dans la livre de la douleur.

Il est des histoires qui ont un début, et une fin.
Celle-ci elle restera éternellement en devenir.
Il y avait de la tragédie dans cette romance, de la passion dans notre ennui, de l'art dans le politique.
Il y avait surtout de la vie, il a choisit le non-être.
Ainsi, ce fut la fin d'une histoire en devenir.

La fin d'une histoire qui se sera noyée dans la mélopée de Preisner.

Parfois, je me demande s'il me lira un jour, encore...






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F
Je ne saurais donc jamais si vous aimez Kieslowski :-Dau plaisir de vous lire...
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F
J'ai oublié de vous remercier pour votre évocation à Preisner...Aimez vous Kieslowski ?
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F
Bonsoir divine,Dans le flot des mots qui jaillissent de votre esprit (jaillir me semble le mot exact, et ce pour de multiples raisons :-p), il est évident que vous ne lassez toujours pas de m'intriguer.Je ne maitrise évidemment pas votre "besoin" de faire vivre Catharsis.Ce que je peux par contre parfaitement comprendre, c'est la puissance de cette rencontre.D'où un nouvel élan de réponse de ma part à vos mots, réponse qui encore une fois n'en attendra pas une autre :-) - cela dit, si l'envie vous pousse à me citer à nouveau, mon égocentrisme s'en verra flatté à l'extrême. Et tout écrivain raffole d'être cité :-p -.Nous l'avions évoqué par commentaires interposés, les rencontres sont un formidable engrais de vie.Dans le flot de ces rencontres, il y a donc eu aussi pour moi des rencontres magiques, "Cathartiques" ou peut être plus prosaïquement riches. A l'image de votre rencontre avec Catharsis, qui a été évidemment pour vous la rencontre déterminante de vos jeunes années.En effet, bien entendu, il y a des rencontres qui forgent nos chemins.Catharsis vous a ouvert les yeux sur votre besoin d'Art. Dieu lui en soit gré... pour vous, mais aussi pour tous ceux qui en profiteront, vos proches d'abord puis ensuite vos lecteurs ou spectateurs...La rencontre est un jeu délicieux. Vivevoltant même, quand une rencontre particulière se dégage du papillonnage de nos quêtes de progressions, d'apprentissages, de divertissements... Nous voletons de ci, de là parmi la foule des fleurs humaines à découvrir et on s'arrête enfin sur une fleur hors du commun. La rencontre sera magnifique, un échange de sucs onctueux et de pollens nouveaux. Une rencontre qui ne durera sans doute pas (nous pourrons peut-être un jour reparler du bonheur de devoir cette rencontre se clôre)Ce qui est intéressant c'est de toujours garder à l'esprit que cette fleur a appris le goût de son nectar au papillon. Et qu'elle a élargi l'espace de ce dernier ! Désormais, le papillon peut découvrir un jardin de fleurs bien plus vaste. Chère demoiselle papillon, vous avez devant vous maintenant un formidable tapis floral. A Paris en particulier..Cette rencontre vous a appris le goût ! Le goût de ce qui vous motive: Ressentir et exprimer ! Créer, toujours... Vivre Art !Cela est dit sans élitisme et sans démagogie ! L'Art peut être aussi vibrant d'émotion dans le Requiem de Mozart, dans certaines formules d'Anna Gavalda ("Je l'aimais", pas "Ensemble c'est tout") que dans toute expression de l'Amour, dans l'attention précautionneuse d'un parent (vaste sujet pour vous, j'en suis persuadé) ou dans les larmes d'un amour mourant (autre vaste sujet pour vous, j'en suis également persuadé (oui, merci au copier-coller :-)). L'essentiel reste dans l'émotion... puis dans l'expression. Car une émotion qui ne s'exprime pas n'est que vanité: elle nait, elle vibre, secoue, souffre puis meurt... pour rien ! L'expression n'aura peut être pas de résultat mais elle aura offert une ouverture aux autres, l'opportunité rare de faire naitre d'autres émotions chez les autres, d'être à son tour la fleur d'un papillon.Remerciez donc Catharsis de vous avoir fait "naitre". Et vivez maintenant votre Art ! De vivre !L'important est que le mot reste toujours votre meilleur vecteur d'espoir. D'espoir, oui, j'ose le clamer, de faire tellement de rencontres...L'amour de soi passe par de nombreuses catharsis.Par le mot,FuliGul'Eader
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